Je n’ai jamais entendu
de si prêt les oiseaux voler,
Leurs frêles ailes se
frôler comme l’ouverture d’un éventail
N’osant pas bouger de peur
qu’ils ne s’en aillent,
Et ôter le son de la
Nature à mes yeux émerveillés.Comment apprivoiser ces éphémères farouches,
Pouvoir vibrer en résonance et au-delà des sons ;
Je le constate car ce
n’est pas le soleil qui se couche,
Aux bras de Morphée, c’est
Nous qui nous levons.
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