Je plonge dans la gueule du Dragon où serpente une langue de feu descendant l’antre de moi-même,
Au centre du réacteur, où les
feux follets accompagnent le voyage que je suis pour me désenvoûter ;
Je pénètre les rouages intérieurs
qui grincent de plaisir au son de la Joie que procure le Cœur qui s’aime,
Des idées hautes volants tel le
derviche comme un compas dans l’air du Temps, raccordent mes pensées.
Fabluleuse histoire dans le monde
mystérieux de l’âme agit et vibrante dans ma chair toutes ses promesses,
Où je chante une chanson de paix et
d’ivresse pour l’esprit aveugle d’oboles dorées dans un corps saint ;
Divine caresse ne t’arrête pas
quand j’abandonne mes douleurs qui apparaissent pour qu’elles cessent ;
Liberté chérie, parle-moi en face
que je vibre mot à maux ce qu’est l’espoir de voir de meilleurs lendemains.